What about you ?
• Nom: Parker • Prénom: Stella • Surnom: • Groupe: (To be brothers in arm, Yes, the river knows, And I knew, oh yes I knew, Young adults to modernize) Young adults to modernize • Âge: 5 ans • Date & lieu de naissance: Toronto le 25 février 2004 • Lieu d'habitation: chez mon papa ^-^ • Signes particuliers (tattoos...):une petite chaine en or avec un crucifix autour du cou • Manie du perso: Toujours accrochée à son père ou à son grand-père. Très coquette et amicale avec les gens qu’elle connait, elle adore être le centre d’attention et être prise à bars (on voit mieux de haut ;-)) • Passion, rêve: être un ange pour pouvoir aller dire "coucou" à Maman là haut... • Personne (du forum) la plus chère à tes yeux: bah mon papa! • Tes goûts et couleurs : Ce que votre personnage aime manger, boire mais aussi ce qu'il apprécie, déteste...)
Stella aime le miel, le chocolat, les bonbons et les biscuits ! Elle adore plus que tout son père et Alba ! Elle aime avoir son chocolat chaud maison au déjeuner, et elle apprécie beaucoup de voir son père sourire et être fière d’elle. Elle aimerait pouvoir passer plus de temps avec lui. Stella adore les belles robes et être bien coiffée.
Because you are the one
• Physique: (10 lignes pleines minimum, style vestimentaire inclu)
Stella est une petite poupée adorable de 5 ans. D’après son Père, elle ressemble à sa mère. En tous les cas, elle a la même peau blanche sans défaut, les mêmes longs cheveux bruns et les mêmes grands yeux noisette. C’est une jolie petite fillette qui sourit beaucoup. Elle porte souvent des robes très jolies et colorées ou des jupes avec des chemisiers. Elle porte parfois des pantalons, mais jamais sans râler et avoir essayé d’expliquer que les pantalons c’est pour les garçons ! Elle refuse qu’on lui coupe les cheveux, elle les veut longs comme sa maman les avait. Résultat ? Son père doit la coiffer le matin, du moins il essaye car ce n’est pas franchement évident pour lui. Elle alterne donc tresse, chignon et queue de cheval. Stella a autour du coup une petit chaine avec un crucifix le tout en or. C’est un cadeau de sa maman qu’elle refuse d’enlever depuis la mort de cette dernière.
• Caractère: (10 lignes pleines minimum, explicitez y au moins 3 qualités et 3 défauts)
Stella est une petite fille gentille de nature, elle se montre toujours polie et souriante même avec les personnes qu’elle connait moins. C’est une enfant adorable et relativement calme, même si comme tous les petits de son âge, elle a énormément d’énergie à dépenser et peu courir dans tous le sens et jouer avec des enfants de son âge. Elle est aussi capable de rester sans bouger assisse quand on lui demande. Elle est de nature créative et dessine beaucoup pour son père et son grand-père. Depuis la mort de sa mère, Stella a un côté mélancolique et triste rare pour les petits de son âge, mais qu’elle ne montre pas en présence de son père. Elle est aussi paradoxalement devenue un peu collante, et quitte rarement son père quand il est présent, réclamant toute son attention. Inconsciemment, elle a peur de le perdre comme elle a perdue sa maman. Elle est un peu possessive avec son père et accepte difficilement de partager son attention et son amour avec d’autre. D’après son grand-père, elle est une petite manipulatrice qui n’aura aucun de mal plus tard avec les hommes. Il y a quelque chose dans sa petite voix et son regard qui font qu’on lui dit difficilement non, et parfois quand il est question de regarder la Tv ou de bonbons, elle sait en abuser ! Stella est une enfant intelligente avec une bonne mémoire et très curieuse qui pose souvent plein de questions.
• Signe(s) particulier(s) : (facultatif dépendant de votre groupe)
Once upon a time
• Histoire: (20 lignes pleines minimum)
Stella Parker est née à Toronto le 25 février 2004. Elle est la fille unique de Lisa et Jared Parker. Stella a grandi entourée par l’amour de ses parents comme tous les enfants ou presque. Son père lui dit souvent qu’elle ressemble beaucoup à sa mère et qu’elle sera plus tard une très jolie femme. Stella a perdu sa mère lors d’un attentat alors qu’elle avait 3 ans. Elle était sortie avec sa mère pour faire des courses, quand durant leur shopping et alors qu’elles plaisantaient à deux, des braqueurs sont entrés dans le supermarché. Stella garde peu de souvenir précis de cet événement elle était encore jeune et sa mémoire n’a pas tout enregistré, heureusement sinon le traumatisme aurait été pire pour elle. Elle se rappelle vaguement de sa maman la protégeant, des cris et du bruit de coups de feu, de la tache rouge qui s’agrandissait sur les vêtements de sa mère… Et puis, ce fut les sirènes des policiers et tout prit fin. Stella resta prostrée dans l’ambulance et silencieuse jusqu’à l’arrivée de son père. Ce n’est qu’à ce moment-là qu’elle commença à pleurer et à balbutier des mots incohérents. Quelques jours plus tard, elle dû dire adieux à sa maman… Elle ne comprenait pas trop bien ce qu’était la mort, mais elle savait qu’elle en reverrait jamais sa mère, du moins pas en ce monde. Pendant quelques mois, elle fit beaucoup de cauchemars liés à cet événement et se refugiait au milieu de la nuit dans le lit de son père. Depuis ce jour-là, elle ne quitte plus le dernier cadeau que lui a fait sa mère : une petite chaine en or. Quelques temps plus tard, son Père lui présenta un vieux monsieur qui était son grand-père. Il s’installa avec son fils et sa petite fille et commença à veiller sur elle. C’est avec lui que Stella passe sa journée quand son père travaille. Après la perte de sa mère, la fillette est devenue plus proche de son père, réclamant plus son attention et le collant quand il est présent. Elle refuse de s’endormir tant qu’il ne l’a pas bordée… Stella a une relation fusionnelle et très profonde avec son père pour une petite fille. Il représente tout son univers. Parmi les collègues de Jared, il y a Alba… Et Alba c’est la référence de Stella, son modèle et la femme dont elle se sent la plus proche. Ayant perdu sa référence maternelle, l’enfant a transférait sur l’amie et collègue de son père son besoin de modèle féminin. Elle adore Alba, et elle se sait aimée de cette dernière ce qui facilite leur relation. Si elle a perdu sa mère, Stella est quand même bien entourée par les adultes formant son entourage…
• Liens : (si PV)
The real you
• Pseudo: Calli • Age: 25 ans (parait-il) • Célébrité utilisée : Mackenzie Foy • Où as tu connu le forum ? dois-je encore y répondre? • Le forum sur une échelle de 1 à 10 ? 8/10 (TB) • Présence sur le forum sur 7 jours ? dépendra du travail • Évaluez votre niveau de RP sur une échelle de 1 à 10 : je reste à 5 non? sinon demandez à ceux qui ont déjà Rp avec moi ^^ • Exemple de post :- Spoiler:
- Dorothy Jenkins a écrit:
La conversation restait sur des terrains neutres. Et cela convenait parfaitement à Dorothy, parce que dans ce genre de discussions, on sait toujours ce qu’on peut dire ou non. Elle n’était pas fan des conversations intimes avec confidences, bien du contraire. Ne pas trop en dire protégeait souvent. C’était quelque chose qu’elle avait appris avec le temps et ses diverses relations. En réalité, il n’y avait qu’à Laurie qu’elle avait fait des confidences personnelles et peut-être des allusions avec Mike… La jeune femme n’était pas du genre à s’épancher sur elle-même ou à poser des questions indiscrètes. Elle préférait nettement que les gens lui parlent d’eux-mêmes. Elle devait reconnaitre que pour les potins, elle avait une place stratégique au SRU. Mais cela ne l’intéressait pas le moins du monde. Elle entendait et voyait beaucoup, mais ne véhiculait rien. Dans le cas contraire elle n’aurait pas pu conserver son emploie et la confiance de certains membres de l’équipe, elle en était sure. Et sa grand mère l’avait éduquée avec ce respect des autres et cette maxime représentée par 3 petits singes : « tout entendre, tout voir et ne rien dire »… Et le fait que Jared Parker reste sur des détails anodins la mettait à l’aise. Elle se détendit de plus en plus tout en conversant avec lui de tout et de rien. En fait, et même si c’était étrange pour la jeune femme, elle se sentait en confiance avec son collègue. Elle ignorait pourquoi tout à coup, elle se sentait bien au point de parler avec lui sans rougir. C’était certes étrange mais aussi agréable. Pourtant on était loin des banalités polies qu’ils échangeaient tous les jours ou des informations qu’il venait parfois chercher près d’elle ou qu’elle lui apportait. Dorothy avait remarqué que tant qu’elle parlait dans le cadre professionnelle, elle arrivait à faire face et n’était jamais déstabilisée. Ce qui n’était pas le cas lors d’échanges plus privé. En général, et bien qu’étant souriante et accueillante avec tous, elle évitait de se retrouver dans ce genre de situation. Sauf que là, elle se sentait aussi bien que quand elle parlait avec son collègue et ami, et elle n’avait pas vraiment envie de mettre fin à cette discussion.
La jeune femme s’appuya contre le bureau du standard qu’elle occupait en journée. Bizarrement elle avait l’impression que la conversation allait encore durer un bout de temps. Si c’était le cas, elle n’aurait pas le temps de passer à l’hôpital pour voir son amie… Mais elle pouvait faire un jour sans y aller, non ? Elle était persuadée que Laurie l’aurait encouragée à rester et à continuer cette conversation. D’ailleurs la psychologue avait toujours essayé de forcer Dorothy à sortir de son isolement. Bien sur, la secrétaire du SRU était amicale avec tout le monde, mais elle n’avait pas vraiment des amis ici ou même dans son quartier. Elle gardait en elle, cette idée de son passé la mettait au ban de la société un peu… Même si Laurie avait tout fait pour la forcer à voir autrement les choses et encourager un maximum à prendre les devants et à essayer d’être encore plus sociable… Donc, Dorothy était persuadée que son amie lui aurait conseillé de profiter de cette occasion pour mieux connaitre l’agent Parker. Et puis son envie de connaitre l’autre semblait partagée alors pourquoi mettrait-elle fin à la discussion ?
Tout ce que Dorothy regrettait c’était d’avoir mentionné si souvent l’ancienne psychologue du SRU. Mais Laurie avait une grande place dans sa vie depuis leur rencontre. Il était donc difficile pour elle de ne pas lparler d'elle. Mais face à un agent du SRU c’était un peu délicat : ils étaient sur le terrain le jour où Laurie avait presque perdu la vie, à cause d’une erreur. Et beaucoup était proche de la psychologue, comme elle l’était. Dorothy supposait que personne n’avait encore vraiment surmonté cette épreuve-là. Et, la jeune femme devinait que c’était un sujet à éviter. Alors autant sortir du thème lié au travail. Parler de choses personnelles sans aller trop loin, sous peine d’être vue comme une indiscrète et curieuse. Et la dernière chose qu’elle désirait c’était que Jared retourne chez lui avec une mauvaise impression d’elle. Non, elle espérait lier quelques liens plus ou moins amicaux, du moins un peu moins froid et professionnels. Dorothy savait que pour les agents de terrain elle ne représentait pas réellement un membre du SRU, qu’il existait un petit fossé entre eux et elle, qu’elle ne franchirait sans doute jamais. Mais vue sa vie actuelle, elle considérait le personnel l’entourant comme sa famille et essayait d’avoir un maximum de bons contacts avec tout le monde ou presque...
Le sourire de Jared Parker à ce moment prouvait combien il adorait se fille. Il devait être un bon père, quelqu’un de très aimant… Quelque part cela faisait plaisir à Dorothy, elle le voyait rarement sourire comme cela, et sa joie de parler de sa fille était communicative. Les parents devaient toujours être fiers de leurs enfants et en parler avec le sourire… Du moins ceux qui avaient une vie normale et des enfants désirés. Si sa mère l’avait eu par accident et l’avait malgré tout aimée, elle détestait parler de sa fille, parce que trop souvent les questions sur le père arrivaient et qu’elle n’aimait pas devoir avouer que ce dernier n’en avait rien à faire. Dorothy ne le connaissait pas, même pas son nom. Tout ce qu’elle savait été qu’il avait été avec sa mère un petit peu mais l’avait larguée quand elle était tombée enceinte… Elle ne dirait pas qu’elle souffrait de cette absence, mais parfois elle aurait aimé avoir une famille normale... Elle chassa ses pensées pour se concentrer sur ce que disait l’agent Parker de sa fille. Elle retrouva le sourire qu’elle avait perdu quelques secondes plus tôt.
« Oh c’est déjà une demoiselle… » Affirma-t-elle amusée par la précision sur l’âge. « Si je n’avais pas fait n’importe quoi à 18 ans, j’aurais aimé travailler avec les enfants… Je les adore et en général c’est réciproque. »
Si Dorothy détestait parler de sa famille ou de sa non vie sociale et sentimentale, elle n’avait jamais eu honte d’avouer ses erreurs de parcours. Et partir de chez sa mère à 18 ans était sa plus grosse erreur, enfin la seule qu’elle avait à son actif, et surtout la seule chose qu’elle regrattait vraiment. Si elle était restée, elle aurait pu faire des études… Mais ce qui était fait, était fait ! Et elle ne regrettait pas sa place au SRU, elle s’était trouvée en quelque sorte.
La remarque de Jared sur la musique surprit un peu Dorothy. Certes elle avait fait tomber son lecteur Mp3 plus tôt face à lui, mais qui n’en avait pas un? Mais le fait qu’il l’est si bien cernée, était étrange pour elle. Généralement le gens ne faisait pas attention à son habitude de mettre des écouteurs. C’était maintenant une vieille manie et elle ne s’en défaisait pas. Elle avait besoin de musique comme un drogué de sa dose. Parce que c’était en partie ce qui l’aidait à tenir, à s’isoler et à oublier certaines choses. Elle faisait le vide en elle grâce à cela… Elle fixa quelques minutes son compagnon avant de lui répondre le plus sincèrement possible :
« Effectivement, j’aime beaucoup la musique… Disons que cela me permet de faire le vide et d’oublier certaines choses, de voir autrement la vie parfois… Faire des envieux je ne pense pas, ça énervait surtout ma mère quand j’étais adolescente et mon ex aussi… Ceci dit ce genre de passion a aussi ses mauvais côtés. Vous n’aimez pas la musique ? » Questionna-t-elle.
Dorothy savait sa question un peu idiote mais elle préférait demander cela que de questionner directement Jared sur ses passions. Au moins, là, il avait le choix dans sa réponse. Elle ne mentait pas quand elle disait que cette passion née par nécessité en réalité avait des inconvénients. Quand elle avait commencé à s’intéressé à tout cela, elle était une adolescente renfermée qui ne cherchait en réalité qu’à s’évader de son quotidien, surtout au lycée. Et la musique lui avait offert cette opportunité : une fois les écouteurs mis et le son enclenché, elle était ailleurs, dans un monde empli de sentiments différents mais tellement loin de ses problèmes à elle. Au fond la musique était un force pour elle avancer mais aussi un moyen de s’isoler loin de tout quand cela n’allait pas trop. Et ça, ça ne palissait pas tout le temps. Et notamment à son seul ex petit ami, qui détestait cette faculté qu’elle possédait de se retirait ailleurs, de s’isoler… Ce n’était pas le motif de leur séparation mais ça avait été un petit élément en plus… Bref, si sa passion l’avait sauvée, elle l’avait aussi isolée. Dorothy avait toujours ses écouteurs et avec le temps elle s’était grandement contentée de ce monde-là plutôt que d’essayer de nouer des liens autre que profesionnels … Elle savait qu’avoir visé à ses oreilles son lecteur Mp3 décourageait les gens à lui parler… du moins beaucoup de gens, ça n'avait jamais fait reculer Mike ou Laurie.Mais bon on ne se refait pas n’est-ce pas ? • Approuvez vu le règlement dans ses moindres détails ? oui • Code du règlement : - Spoiler:
Ok by Lumi |