Jeff Carter

What about you ?

• Nom: Carter
• Prénom: Jeff
• Surnom: Boss (uniquement pour les membres de son organisation criminelle pour les autres il reste Jeff)
• Groupe: Yes, the river knows
• Âge: 49 ans dont 15 passés au sein du SRU
• Date & lieu de naissance: Le 19 janvier 1960 à Bangor, Maine.
• Lieu d'habitation: Jeff vit dans un appartement du centre ville de Toronto.
• Signes particuliers (tattoos...): "Memento Mori" tatoué sur la partie interne du bras gauche.
• Manie du perso: Lorsque Jeff est énervé il se pince le haut du nez entre son pouce et son majeur, lors d'une entrevue avec un sous fifre ou un partenaire encombrant, son service d'ordre prend ce geste comme la sentence de l'interlocuteur.
• Passion, rêve: Gagner toujours plus d'argent et diriger la ville dans l'ombre et si au passage il pouvait faire chuter la cellule du SRU ce serait une magnifique cerise sur un très beau gâteau.
• Personne (du forum) la plus chère à tes yeux: Sa fille, Cléa Carter, bien qu'il ne soit pas fan du prénom que la mère de cette dernière a choisit...
• Tes goûts et couleurs : Jeff est un gars du Maine tout ce qu'il y a de plus classique, il aime le homard de son état natal ainsi que le bœuf juste saignant. Il n'a rien directement contre les membres du SRU, ce ne sont pour lui que de simple marionnettes dirigées par d'autres, ce qui le révulse en revanche c'est la manière dont ces hommes sont traités par les autorités. Ils risquent leur vie chaque jour et ne sont pas plus reconnus que de simples employés municipaux. C'est cette ignorance et la non récompense de ses efforts qui à fait partir Jeff de la cellule, aujourd'hui il est sont propre maitre et récompense gracieusement ceux qui le servent.

Because you are the one

• Physique: Jeff n'a plus ses vingt ans et ce depuis un bon moment, mais ce qu'il a perdu en force musculaire il l'a bel et bien acquis en charisme et en stature. Il n'est certes plus aussi vif et musclé qu'à l'époque où il faisait partie du SRU mais il garde une grande forme pour son âge. D'une taille plutôt petite, le chef des Death Eagles n'en impose pas moins son autorité aux autres gangs de la ville. Il a fait sa réputation autrement que par des exploits physiques. Il porte désormais les tempes grisonnantes et son visage est buriné par le temps et les activités extrêmes. Toujours tiré à quatre épingles, il ne saurait concevoir de sortir sans porter un costume trois pièces des plus grands créateurs. Loin de l'image d'un chef de gang à la californienne, Jeff est plus dans l'esprit des anciens mafieux, toujours classe même lorsqu'il tue de sang froid, ce qui lui arrive plus souvent qu'à son tour il faut bien l'admettre. Il joue de sa taille peut intimidante et de son visage rappelant un retraité inoffensif pour passer inaperçu et surtout garder le secret de ses activités. Car en effet personne ne sait réellement à quoi le chef des Death Eages ressemble, même pas les membres de son organisation. Juste certains fidèles haut placés le connaissent sous sa véritable identité.
• Caractère: On ne devient pas le chef du plus important gang de Toronto en étant un enfant de cœur et c'est bien ce que Jeff a prouvé en accédant très vite au statut de maître incontesté de la pègre de la ville. Beaucoup ont d'abord prit ce nouveau venu pour un simple malfrat lambda voulant se créer son empire trop vite et au détriment de trop de monde, mais la culture du secret qui est la marque de fabrique de Jeff a rendu sa traque beaucoup plus compliquée, alors que ses adversaires cherchaient à savoir à qui ils avaient à faire Carter lui mettant en pratique ce qu'il avait appris et perfectionné au sein du SRU, entraînant ses hommes à la manière des troupes d'élites de la police. Ses snipers firent feu le même jour sur huit cibles au même moment, faisant ainsi tomber les têtes de toutes les organisations criminelles de la ville ne laissant que les Death Eagles aptent à remplir ce vide. Il montrait ainsi de sa personne un coté ultra organisé et militariste que la ville n'avait pas connu chez un chef de clan depuis bien longtemps. Mais cette facette laisse bien vite la place à un dangereux meurtrier lorsque les choses ne s'emboîtent pas selon ses plans et plus d'un sous fifre de son organisation découvrirent le visage de leur chef le même jour qu'ils rencontrèrent la mort rapide et sans préambule. Jeff garde en tête l'adage voulant que pour savoir ce qu'il en est de demander à un de ses hommes de tuer il faut appliquer les sentences de morts de sa propre main. Au delà de son image sombre, Jeff reste un père aimant envers sa fille et un amateur de belles femmes. Cette dernière tendance ayant pour particularité de lui apporter plus d'ennuis que d'avantages, mais il ne s'en soucis pas plus que ça, les plaisirs de la chaire sont trop ancrés en lui pour qu'il s'en détache aujourd'hui alors qu'il a déjà pouvoir et fortune...
• Signe(s) particulier(s) : Jeff est un ancien membre du SRU pétrie de bonne volonté ayant vu ses attentes toutes déçues les unes après les autres, aujourd'hui il est d'un cynisme et d'un pragmatisme sans égal, ce qu'il veut il le prend et tant pis pour la casse. Memento Mori, on doit tous mourir un jour telle est sa devise.

Once upon a time

• Histoire:


Jeff Carter coordinateur offensif de l'équipe SRU de la police de la ville rentre auprès de sa fille, dans leur appartement sans prétentions après avoir passer plus de deux heures dans le bureau du directeur du département auquel son équipe appartenait. Et une nouvelle fois, alors qu'il donnait tout ce qu'il avait à ce métier qui était pour ainsi dire sa vie, métier qu'il avait préféré à sa femme lorsque celle-ci lui avait lancé un ultimatum le poussant à choisir entre le SRU et elle. Jeff s'était vu une nouvelle fois déçut par ses supérieurs, on lui reprochait de s'être montré trop expéditif dans les instructions données aux équipes tactiques lors de la dernière intervention qui avait vu la mort du preneur d'hotages avant même que des négociations aient été mise en place, Jeff avait été informé qu'un fenêtre de tir s'était ouverte et il avait donné l'ordre de faire feu sans plus de préavis que ça. Pour lui il avait agit dans le plus grand intérêt des hotages mais ses supérieurs ne pensaient pas de la même manière, il lui fut notifié sa mise à pied ainsi que l'ordre de suivre des rendez-vous réguliers avec le psychologue de la cellule afin qu'il apprenne à contenir son agressivité. Ce à quoi Jeff Carter avait répondu que lui il sauvait des gens qu'il n'était pas là pour sauver des criminels et déposant son badge et son arme de service sur le bureau du directeur il avait définitivement rompu les amarres avec le SRU et leur déontologie éculée.

Tu sais Cléa... ne fais jamais confiance qu'à ton propre jugement... ne ploies jamais l'échine devant les autres simplement parce qu'un diplôme encadré sur un mur dit qu'ils sont plus intelligents que tu ne l'es. N'obéis qu'à tes propres règles et crées toi ta propre chance, ton avenir est ce que tu voudras en faire pas ce que la société dicte...

Se rendant compte qu'il commençait à radoter et que sa fille de dix neuf ans n'en avait certainement rien à foutre des états d'âmes d'un quadragénaire au chômage, il se dirigea vers le bar pour s'y servir une bonne rasade de whisky.

Quinze ans comme loyal serviteur et c'est comme ça que l'on me remercie... Ils pensent qu'ils peuvent tenir la ville en se souciant des criminels et en sous payants leurs meilleurs éléments simplement parce qu'ils sont employés municipaux... Je vais leur montrer ce que c'est qu'un criminel... Je vais leur apprendre la véritable signification de la peur crois moi ma fille. D'ici un an, nous serons riches et cette ville me mangera dans la main. Mais avant il faut que je monte ma propre équipe, neuf est un nombre suffisant, avec neuf hommes sous mes ordres dans six mois je serais le maître de la pègre et ensuite la ville ne demandera plus qu'à se faire prendre comme la putain qu'elle est devenue.

Il vida son verre d'une traite. Jeff Carter, le vieux serviteur de l'état allait passer dans la clandestinité et plus rien ne serait pareil à Toronto une fois sa toile mise en place. Il en connaissait quelques uns qui allaient s'en mordre les doigts, on ne peut former des hommes comme des armes de guerre et ne pas en prendre soin car si cette arme se retourne contre vous alors que la miséricorde divine soit sur vous car c'est l'enfer qui émergera.

Memento mori ma belle... Memento mori...
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The real you

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